Le 11 octobre 1975 à 23h30, une troupe déchaînée de jeunes comédiens et écrivains a changé la télévision pour toujours. Découvrez ce qui s’est passé dans les coulisses des 90 minutes précédant la première diffusion de Saturday Night Live (1975). Matt Wood joue le rôle de John Belushi dans Saturday Night, découvrez le reste du casting et leurs homologues dans la vraie vie. Dan Aykroyd était le seul membre du casting original de SNL à lire le script. Alors que l’émission était diffusée en direct, John Belushi est entré dans le cadre avec 39 secondes de retard.
Lorne Michaels : Écoutez, je m’appelle Lorne Michaels, je suis producteur dans Saturday Night. Lorne Michaels : [sarcastiquement] Ouais, toute la nuit. Le film s’ouvre sur une citation de Lorne Michaels : « Le spectacle ne continue pas parce qu’il est prêt, il continue parce qu’il est 23h30 ». Présenté dans Eddie Murphy, le roi noir d’Hollywood (2023). Ixoo ‘Chickenweed’ ChawzÉcrit par Don Sento et Martin GarnerInterprété par Don Sento et Martin Garner.
Dans la tapisserie dynamique de la comédie moderne, Saturday Night 2024 apparaît comme un jalon cinématographique, un tour de force qui honore avec révérence son héritage narratif tout en s’aventurant sans crainte dans des territoires inexplorés de l’humour et du commentaire social. En tant que critique de cinéma chevronné, je dois exprimer ma plus grande admiration pour ce dernier volet de l’univers cinématographique SNL, magistralement réalisé par le visionnaire Jason Reitman. Dès la toute première scène, Saturday Night 2024 donne un rythme à la fois exaltant et intellectuellement stimulant. Avec un penchant pour l’absurde et le poignant, Jason Reitman élabore un récit qui navigue habilement dans les complexités de notre époque moderne, utilisant la satire comme un scalpel pour décortiquer les thèmes de l’identité, de la technologie et de la condition humaine en constante évolution. Le casting du film, qui comprend des vétérans chevronnés de SNL et des nouveaux venus talentueux, offre des performances qui oscillent entre une comédie hilarante et des moments de résonance émotionnelle profonde, prouvant une fois de plus que le rire peut être une forme profonde d’expression artistique.
Chaque sketch et segment ressemble à un cocktail parfaitement élaboré d’humour et de perspicacité, rempli de commentaires sociopolitiques subtils qui résonnent profondément avec la société d’aujourd’hui. Une scène particulièrement mémorable est une séance de thérapie par réalité virtuelle qui non seulement suscite le rire, mais nous incite également à réfléchir à nos angoisses collectives face à l’immersion numérique, démontrant l’étrange capacité du film à mélanger harmonieusement divertissement et critique sociale. La cinématographie, réalisée avec brio par Eric Stillberg, capture l’énergie frénétique de New York avec une vivacité qui semble presque hyperréaliste, accentuant l’absurdité des sketches. Le montage, une démonstration magistrale de précision et de rythme, coupe et assemble habilement les scènes pour un timing comique impeccable. Saturday Night 2024, malgré son génie, ne manque pas de moments de rythme inégal.
Certains sketches humoristiques semblent un peu détachés du récit global du film, perturbant momentanément l’expérience immersive. Cependant, ces petits contretemps n’éclipsent pas le voyage triomphal global à travers la comédie moderne. Mélange parfait de rythmes modernes et de mélodies nostalgiques, la bande-son complète le festin visuel, rehaussant les hauts et les bas comiques avec une richesse auditive. Réalisé par Jason Reitman, c’est un film qui non seulement reflète notre époque, mais la déforme également à travers le prisme de la comédie, offrant au public une variété d’émotions et de perspectives.
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