Un professeur de chimie diagnostiqué d’un cancer du poumon inopérable commence à fabriquer et à vendre de la méthamphétamine avec un ancien élève pour assurer l’avenir de sa famille. Célébrez Breaking Bad, le favori des fans, en revoyant certaines de ses scènes les plus mémorables. Pendant la pause causée par la grève des scénaristes, le créateur Vince Gilligan, impressionné par l’interprétation de Jesse par Aaron Paul et par le fait que tout le monde aimait simplement Paul, a décidé de rétablir le personnage et de donner le destin de Jesse à un autre personnage dans le final de la saison 1. Dans le générique d’ouverture, les lettres des noms des acteurs et de l’équipe sont surlignées en vert pour représenter les symboles des éléments chimiques. Cependant, le « Ch » du nom de Michael Slovis a été mis en évidence dans plusieurs des premiers épisodes, même si Ch n’est pas un symbole d’élément chimique. Dans les épisodes suivants, seul le « C » (pour carbone) est mis en évidence.
Walter White : À qui parles-tu ? Sais-tu combien je gagne par an ? Je veux dire, même si je vous le disais, vous ne le croiriez pas. Savez-vous ce qui se passerait si je décidais soudainement d’arrêter de travailler ? Une entreprise assez importante pour être cotée au NASDAQ fait faillite. Disparaît.
Elle cesse d’exister, sans moi. Non, vous ne savez évidemment pas à qui vous parlez, alors laissez-moi vous donner un indice. Je ne suis pas en danger, Skyler. Un type ouvre sa porte et se fait tirer dessus, et vous pensez ça de moi ? Non ! C’est moi qui frappe !
Le générique d’ouverture utilise des symboles chimiques du tableau périodique des éléments dans les noms : brome (Br) et baryum (Ba) pour le titre, aucun pour le créateur Vince Gilligan (sauf quand il obtient un V pour vanadium), un pour les acteurs et les membres de l’équipe. Tous les épisodes ont été rediffusés sur une chaîne câblée à la demande dans certains territoires, sans publicité mais avec des scènes supplémentaires non incluses sur AMC. Je n’ai jamais vu une série aussi authentique et convaincante que Breaking Bad. C’est sans aucun doute l’une des meilleures séries de tous les temps, et elle ne fait que s’améliorer au fil des épisodes. Les parcours de Walter White et de Jesse Pinkman sont inoubliables. Ce sont quelques-uns des personnages les mieux écrits à avoir jamais émergé d’un journal à l’esprit vif.
Certains plans sont des œuvres d’art complexes, et j’ai rarement été distrait par le jeu des acteurs. Le jeu des acteurs est si excellent qu’il semble inapproprié de les qualifier de performances d’acteurs. Dans l’ensemble, Breaking Bad maintient un niveau de tension et de qualité technique que l’on ne voit que dans les meilleurs films, et en termes de ton, chaque moment intense est parfaitement exécuté et atteint toujours l’impact souhaité. À mon avis, l’intrigue de la série manque d’un certain niveau de complexité dans les premières saisons car il n’y a pas beaucoup d’intrigues et le début est un peu lent, mais Breaking Bad est un incontournable absolu. Si vous avez des sentiments mitigés à propos de la saison 1, croyez-moi, les choses ne font qu’empirer à partir de là. S’il y a bien une série que l’on peut qualifier de parfaite, je pense que c’est celle-ci.
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